Exercícios de curiosidade menina: perguntar com crianças

Abstract

L’exercice de curiosidade menina: l’action de questionner avec les enfants n’est elle seulement une étude de thèse, mais aussi, et même especialmente un lien selon lequel je me conecte aux enfants des écoles publiques de mon lieu d’origine. Elle fait partie d’un rêve qu’a débuté y a t’il douze ans, construit dans trois école publiques municipaux situé aux régions populaires de la ville Maceió/AL avec les filles et garçons du deuxième au cinquième année de l’École Primaire, toute au long de l’année scolaire 2018. S’agit-il de expérimenter l’action du questionnement a travers l’ensemble de fragments qu'y posent l’enfance les garçons et les filles populaires au centre de notre sujet. Il s’ensuit que l’enfance des garçons et des filles leur offraient demander comme les enfants dans le monde de l’école de Alagoas a partir des fragments de proximité aux contextes géographiques e topographiques auxquels nommons paroles génératrices de la pensée mis à jour pour quelques fragments aux vies d'enfances: lagune, pêche, dépotoir, mer/plage, arrière-cour et pensées. Au vu de cela, l’enfance des garçons et des filles d’Alagoas selon le paradigme de l’enfance philosophique est un exercice philosophique que va vers l’enfance, en tant que fait l’insertion des fragments de vie des garçons et des filles raconté par les enfants mêmes, et pensée par toutes et tous dans un lieux central de l’activité dialogique. À coté de cet ensemble des fragments on dialogue avec l’enfance du maître de Pernambuco Paulo Freire, déjà dans un autre temps, lui de l’adulte, même si “garçon connecté”. L’enfance de Paulo Freire nous a suggérer que ce temps “garçon” est-il notre connexion à tout moment aux racines du notre cour. Cette observation dérivée des premières expériences dans la vie de Paulo Freire, nous a inquiéter a interroger par rapport au dialogue avec la propre histoire de vie d’enfance des écoliers que nous avions rencontré semestriellement aux écoles à la capitale d’Alagoas: Pourquoi questionner avec les enfants aux écoles publiques situé dans les régions populaires de Maceió/AL? Pourquoi fragments d’histoires des vies à l’enfance sont elles importantes dans une pratique du questionnement? Qu'est-ce que transforme cette pratique construite avec des enfants en philosophie à l’enfance? Quelles sont les conditions dialogiques qui relient filles et garçons à la curiosité et aussi aux questions nécessaires à l’activité philosophique et a la pédagogie freirienne? À ces mots, cette thèse n’est pas une spectatrice de l’enfance des enfants à trois écoles publiques municipaux de la capitale d’Alagoas où les expériences se découlent comme si elles ont envisagé vers ou sur elles, une fois qu’elle est aussi le fruit des options e récits démontré dans notre travail. À partir de ça, les exercices de curiosité d’enfance démontraient les traces d’une éducation caractérisé par le nord-est, l’Alagoas, et remarque que garçons et filles pensaient de la même manière telle que ses fragments, dû également, au rapport avec les fragments de son enfance chronologique. Finalement et dans des conditions adverses présents aux écoles municipaux de Maceió/AL, au moment où quelques fragments à proximité des expériences de l’enfance populaire sont le “contenu” de la pratique.

Practices of curiosidade menina: asking questions with kids is not just a thesis study, but it is especially a link that connects me to public school children in my homeland. It is part of the realization of a dream started twelve years ago and built in three municipal public schools located in popular areas of Maceió/AL with boys and girls from the 2nd to 5th grades of Elementary School throughout the 2018 school year. It is about experiencing the act of asking through a set of fragments that place the childhood of popular boys and girls at the center of our occupation. It follows that the childhood of boys and girls provided the opportunity to ask in a “kid-ish” way in the world of Alagoas school through fragments closer to their geographical and topographical contexts which we named thought-generating words, moved by some fragments of kidly lives: lagoon, fishing, dumping grounds, sea/beaches, yard and thoughts. In view of this, the childhood of boys and girls from Alagoas as a kidly philosophy is a philosophical exercise that becomes kidly because it inserts fragments of the lives of boys and girls, narrated by them and thought by everyone, in a central place of dialogical activity. Alongside this set of fragments, we dialogue with the childhood of Pernambuco educator Paulo Freire in another time, that of the adult, however, “connective kid”. Paulo Freire's childhood suggests to us that this kidly time is what connects us at any time to the roots of our backyard. This observation, coming from the first experiences of the kid Paulo Freire's life, led us to ask, considering the dialogue with the history of the kidly life of children that we meet weekly in schools in the capital of Alagoas: Why ask with children from public schools in popular areas of Maceió/AL? Why are fragments of the history of kidly lives important in a questioning practice? What makes this practice built with children a kidly philosophy? What dialogical conditions connect girls and boys to the curiosity and questions that are so necessary for philosophical activity and Freire's pedagogy? That said, this dissertation is not a mere spectator of the childhood of children in the three municipal public schools in the capital of Alagoas, where the experiences occurred, as if it spoke to them or about them, since it is also the result of the options and narratives presented here. In this way, Kidly curiosity exercises: asking with children brings marks of a Northeastern, Alagoas education, and shows that boys and girls think the way they think about their fragments, also, due to the relationship with the fragments of their chronological childhood. Given this and the adverse conditions present in the schools that hosted this study, it is possible to ask kidly in municipal public schools in Maceió/AL, when some fragments close to the experiences of popular childhood are the “content” of the practice.