Olhar o Egito e ver a África: das reminiscências modernas do Egito negro à Escola Africana de Egiptologia (1787 a 2001)

Abstract

Depuis les dernièrs années du 18ème siècle les défenseur de l’abolitionisme et du panafricanisme ont s’aproprié de l’Égypte ancienne, regardé comme nègre et africaine, pour la défense du fin du régime esclavagiste, l’égalité raciale et l’autodétermination des peuples. A partir du milieu du 20ème siècle, avec l’entrée sur scène des savants, historiens et égyptologues africains, les similitudes entre la civilisation pharaonique et les autres du continent africain ont devenir objet d’une recherche scientifique méthodique et systématique et au même temp ont été appropriée selon les intérêts politiques des intellectuels africains de la période des luttes d’indépendence et d’après-indépendance, parmi lesquelles Cheikh Anta Diop (1923-1986). Autour de cet intellectuel et savant s’est formé, a partir des années 1960, le cercle intellectuel diopien, qui au seuil des années 1990 a donné origine a une école historique, l’École africaine d’égyptologie. Depuis cette décennie le diopianisme est devenue la cible de critiques rédoublées, c’est qu’a posée dans l’évidence les luttes pour le monopole de la répresentation legitime sur le monde ancienne. Il y avait un désaccord entre les appélés « afrocentristes » et « africanistes eurocentristes ». Ansi donc, cet travail aborde l’histoire des appropriations de l’Égypte ancienne par les occidentaux, afro-américains et africains depuis les derniers années du 19ème siècle au 20ème siècle et, surtout, l’histoire de la science, de l’historiographie et de l’égyptologie en Afrique contemporaine.