A Ode marítima é Os Lusíadas que falta (Ainda sem título).

Abstract

Ce mémoire de Master se propose de faire une recherche et une présentation de l’attitude de deux poèmes – Les Lusiades, poème épique du poète portuguais Luís de Camões, écrit environ en XVIème siècle, et Ode maritime, de Álvaro de Campos, hétéronyme du poète portuguais du XXème siècle Fernando Pessoa. La tutelle de cette position est limitée par un mouvement plastique commun: le phénomène de la transmigration des verses, qui a l’expérience du language et qui la menace. En ce raisonnement, l’ambition de cette monographie est entrer une confrontation avec les oeuvres là mentionées et vérifier – en soulignant leurs dissemblables gestes transmigratoires - comment la traduction de certaines occasions issues de Les Lusiades chez l’Ode maritime est une modalité poétique a manifester que la transmigration des verses, directement ou indirectement, élève le Nouveau Royaume parmi deux instants sur le mer circonscrit aux sens, parmi les gens lointains, dans un quai désert. En synthèse, il s’agit d’apurer la possibilité de penser que le paquebot, qui entre, classique, le matin pour la barre, est le retour de Les Lusiades. Considérant ce propos, l’idée première de notre suggestion est que, dans leurs extensifs poèmes, Les Lusiades et l’Ode maritime offrent poètiques qui nient quelques datations sur eux. Dans cet aspect, le poème de Álvaro de Campos dessine, donc, une réponse qui serait un geste d’overture au entendement suivant: l’Ode maritime est Les Lusiades qui absent.