A seleta paleta de Cesário Verde

Abstract

Ce travail est une étude picturale de la poésie de Cesário Verde, poète portugais de la deuxième moitié du XIXe siècle. Dans le premier cas, la lumière de l'histoire, la contextualisation de l'auteur doit être faite par l'historien Arnold Hauser, José Mattoso et Joel Serrao, soulignant le fait que l'industrialisation tardive et la fin de l'ancien système de patronage mis poètes et peintres, en termes socio-économiques, sur un pied d'égalité au Portugal. Dans la section "pictural Cesário", met en évidence la couleur et le sens de la réalité au poète, à partir des idées de le théoricien de l'art Robert Kudielka et les associations entre strophes ou des vers avec des peintures des peintres de Barbizon, avec le romantique allemand Caspar David Friedrich, les compatriotes du poete, Jose Malhoa, Columbano et Silva Porto, ainsi que Pissaro et Monet, afin de promouvoir les liens entre verbale et l'imagerie. Dans la section «Le(s) Noeuds de Seurat", sera présenté, à travers de poème Nous, la fin de la dichotomie rurale-urbaine dans le travail de Cesario, ratifiée par Helder Macedo, établir une corrélation avec les peintures de Georges Seurat, artiste qui voit à la fois le champ et la ville que les environnements de données pour travailler et se prêtent au changement social dans rien opposent nécessairement. Dans le dernier chapitre, «L'expressionnisme d'un Occidental», la subjectivité picturale expression « studieusement » spontanée sera abordée, mis en évidence par le philosophe Friedrich Nietzsche, à travers la connexion entre fresques de Van Gogh, Paula Modersohn-Becker et Edvard Munch avec des stations dans le Le sentiment d´un Occidental. La tristesse et l'angoisse d'un poète qui regarde son Portugal, dont le passé glorieux contraste avec le présent décadent et avenir incertain dans l'effondrement, sont explorés à la lecture comparative de ce poète-peintre de versets