Vitrines de moda e a alteridade da intervenção: a construção do ato artístico em ato de consumo

Abstract

Le travail présente des événements artistiques organisés dans des boutiques de mode ou sponsorisés par des marques liées à la mode, nous indiquant l'art comme une ressource du marché. Nous cherchons à comprendre le fonctionnement des événements, comme est l'approche, comment ils suggèrent la participation de l'art et comprennent l'hybridation des domaines. Nous établissons quelques partenariats importants entre les domaines de l'art et de la mode, la manière dont les artistes et les designers se positionnent par rapport à leurs domaines et au marché, néanmoins nous finissons par comprendre que la création d'espaces culturels et leurs possibilités stimulent et démystifient le marché des uvres d'art et, par conséquent, influe sur la structure et le fonctionnement de celui-ci. Dans un premier instant, nous avons utilisé deux événements, qui adressent la vitrine comme lieu d'intervention de l'art. Le premier, Urban Art Box, proposé comme célébration du trentième anniversaire de Shiseido en France, a été conçu comme une édition qui a mélangé une rétrospective d'un événement artistique qui a lieu à Tokyo, appelé Windows Art, avec des interventions de jeunes artistes français. Le second, Paris et la Création : Vitrines sur l'Art, des Galeries Lafayette invite les institutions culturelles à occuper leurs vitrines. Vitrines aux fins de la promotion, donc nous travaillons l'art comme ressource de consommation, comme s'établit par rapport à l'art. Cependant, nous comprenons que la consommation construit une sorte de lien entre le marché et les domaines, en raison des événements établissant des caractéristiques et des procédures soulevant une place de légitimation par le domaine de l'art. Ensuite, nous comparons l'événement intitulé Parcours Saint-Germain-des-Prés et celui de Colette. Le Parcours est défini comme une rencontre entre l'art et les lieux du quartier, où l'art est invité à habiter les espaces commerciaux et publics à travers une seule exposition, ayant des aspects intéressants à travers les négociations entre art, mode, gastronomie et tourisme. Notre intention est de comprendre quel est l'objectif, en particulier en ce qui concerne les partenariats, mais pas de se concentrer uniquement sur la politique d'entreprise, mais de la manière qui a un impact sur le domaine de l'art. Déjà Colette fait des expositions d'artistes estimés, explore des questions de marketing (commercialisation) dans lesquelles le commerce de la mode peut jouer le rôle de l'art. Nous parlerons du contexte et du type de consommation qui, en ayant différentes caractéristiques liées à l'objet de l'art et au bien de consommation, apporte l'art comme bien symbolique désormais à l'aspect du fétiche, facteur qui culmine attribué au luxe, donc toujours décrivant les questions liées à la consommation et en ce qui concerne le domaine de l'art. La collection de mode Infiniment Kusama tenue par Louis Vuitton en collaboration avec l'artiste, Yayoi Kusama. Cependant, Kusama, en expansion et en projetant tout le point de vente engendrant des concepts artistiques développés dans ses uvres, c'est-à-dire en utilisant sa trajectoire comme répertoire, nous indique des possibilités qui vont au-delà des simples stratégies de branding, parce qu'ils poussent l'art dans sa totalité conceptuelle en concevant un nouveau contexte, dans lequel nous trouvons que la réception exige l'interaction du public, l'intention de l'artiste et la vocation de l'espace.