Jardins precários: flagrantes conceituais e acoplagens teórico-poéticas em torno das naturezas da arte

Abstract

"Pourquoi sommes-nous si mélancoliques? Était-ce l'effort de l'homme occidental pour se séparer de la terre, pour «dénaturer» l'origine de notre mélancolie? À quelle distance de la terre serions-nous? Dans quelle mesure l'homme et la terre seraient-ils distincts ou dissociables? »Il est ému par ces questions que l'artiste Cecilia Cavalieri nous invite à la possibilité pleine d'espoir de retrouver une intimité et une écoute profonde de la terre. Dans cette thèse, l'artiste articule des expériences d'art / vie dans les espaces voisins entre l'homme et la nature, où chaque uvre est donnée comme un jardin, son propre microcosme, et discute des relations de l'anthropocène avec Mélancolie. Et les deux avant précipices, l'art binomiale / vie et nature / culture, l'artiste exécute une manière plastique essayant de démêler une certaine genèse de cette mélancolie, mais vu par un parti pris contemporain, poétique, à travers l'idéalisation et la nature de la perte, de la terre. En temps de catastrophes et de changements climatiques, conséquences de notre séparation dévastatrice de la nature, un jardin suspendu soutenu par un miroir nous renvoie à nos pieds sur le sol. Et lever les yeux ou regarder les étoiles, ou les nombreux miroirs auxquels la dissertation nous confronte, c'est se souvenir de notre fragilité et du manque de vie constitutif qui nous lie et nous conduit vers l'autre et vers la terre. Les Jardins Precaires sont un collage entre fiction et réalité, dans lequel les éléments de la nature se mêlent aux fissures urbaines et constituent des scénarios précaires et difficiles. Combien nature l'homme occidental lui tirait et de mettre à l'extérieur, dans le monde, l'environnement, la campagne, loin de là, se différenciant negativando elle, se mettre à la place de l'artifice, le refuser? C'est la question que la dissertation laisse ouverte, sans prétention à répondre